jeudi 11 août 2011

Le retour 2

Nous ne laisserons pas le dernier mot, maux, à la bactérie. Nous avons repris la route. Pour une direction moins exotique, mais toujours à vélo et en tente. Nous osons même braver l'intoxication alimentaire:






Quelques jours pour redécouvrir notre belle région. Nous sommes dans le 67, dans la ville de Bugatti. Les gens sont charmants et les paysages superbes. Nous avons même vu, du sommet d'une colline la flèche de la cathédrale de Strasbourg. Mais pourquoi donc le Haut-Rhin s'oppose-t-il à la fusion avec le Bas-Rhin?

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samedi 30 juillet 2011

Retour

Ça y est, nous sommes tous rentrés. Comme prévu, Annemarie et Hugo ont pris le train et en quelques heures, environ trois jours, sont arrivés dans la nuit à Colmar.

Avec Lucas, nous avons hésité, puis finalement avons opté de passer par la Slovénie, petit pays à l'est de l'Italie, peuplé de slovènes et d'ours. Heureusement nous n'avons rencontré que les premiers. Nous ne sommes pas passés par Venise, mais sommes allés dire bonjour à des amis de toujours. Le premier s'est marié récemment, il n'était pas là mais en voyage de noces, c'est toujours le problème quand on passe à l'improviste.









Le second était encore à Paris. Il profite des derniers jours de soldes pour préparer la chambre de son prochain rejeton. Tant pis, avec Lucas on a fait des châteaux de sable.









Lassés de ne trouver personne, on a fini le chemin d'une traite, et nous voici de retour à la veille de la majorité de mon Lucas préféré.

Le plus important en vacances, on l'a vu avec Hugo, c'est de bien manger, mais surtout pas n'importe quoi. Hugo a encore beaucoup de choses a apprendre. Depuis les repas au restaurant de Kiskunhalas, pita, viande grillée, frites et légumes pour les adultes,





poulet en forme de dinosaures et frites pour Lucas,





nous avons tout cuisiné avec un réchaud au bois. Le plus difficile est de lancer le feu, ça prend parfois du temps, et ça fume beaucoup. Le mieux, pour le petit déjeuner est de lancer le feu quand tout le monde dort encore, vers 5h du matin. Ça marche, personne n'a jamais râlé pour les signaux de fumée. Par contre une fois que le feu a pris, il suffit de l'alimenter régulièrement et ça chauffe très bien.







En tout cas nous avons toujours mieux mangé qu'à l'hôpital. Même Wolfi ne voulait rien savoir des restes que laissait Hugo.







Alors qu'au début de notre séjour hongrois il a fait très beau et excessivement chaud, nous avons quitté cet hospitalier pays sous la pluie et l'orage. Nous avons profité de la cuisine de Rackave pour y préparer de succulentes pâte aux tomates et poivrons, et un peu de piment, puis après la vaisselle nous y avons dormi. La tempête faisait rage dehors, et nos tentes y ont bien résisté, mais sans nous!






Nous avons rejoint nos tentes respectives, vers deux heure du matin, réveillé par une alarme d'une maison, dont le propriétaire devait être en vacance. Puis à 7h, Annemarie nous téléphone pour nous dire qu'elle prend l'avion dans la mâtiné. Avec Lucas on décide de partir illico, on peut attraper un train dans 3h à Budapest pour vienne. A 7h50 on est prêts, un record de rapidité, on s'élance. A 8h je démonte le garde boue arrière de Lucas qui ne tient plus que par une vis, à 8h10 on se relance. À 8h20, Annemarie téléphone, elle n'a pas assez de liquide pour payer le taxi jusqu'à l'aéroport, elle rentre en train, on se donne rendez-vous le soir au camping. À 8h30 l'orage, le même que la nuit, éclate. À 8h40, on prend notre petit déjeuner.






Après deux heures de lecture et de sommeil pour Lucas, nous reprenons la route. Il a même faire beau. Nous mangeons à Budapest dans un restaurant avec vue sur le parlement. Lucas prend du poulet farci au camembert, ça lui goute tellement qu'il veut ça pour son anniversaire. Le plus dur va être de convaincre Annemarie.

Le soir on se retrouve tous au camping. Le boss de la compagnie de taxi voulait faire payer 40000 ft le trajet à Annemarie. Elle a râlé, il s'est énervé, elle n'a pas lâché, il est devenu tout rouge, elle a fait mine d'aller voir ailleurs, il a céder pour 10000. Elle aurait pu continuer mais elle était fatiguée. Annemarie a peur de l'avion, mais pas des taxis.

Pour la suite du retour, vous pouvez relire le début du billet, tout n'est pas forcément juste, mais en même temps on est parti pour rêver un peu.

Voilà, ce voyage se termine comme ça. Depuis Hugo est constipé et se sent bien à la maison. Nous pensons peut-être aller faire un tour à Amsterdam en suivant le Rhin, mais les enfants ne sont plus très chaud. Nous ne serons peut-être que deux.

A bientôt

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mercredi 20 juillet 2011

Les Kanaky's

Ce soir sur M6, c'est une chaine de télévision, il y a un reportage sur les joies du camping. Avec en guest star les kanaky's. Comme nous sommes perdu dans un espace temps un peu bizarre, nous ne sommes pas certain de pouvoir les regarder. Si quelqu'un avait la gentillesse de nous l'enregistrer, nous lui serions infiniment reconnaissant, si toutefois nous parvenons à rentrer!


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lundi 18 juillet 2011

Hugo, super bobo?

Après de faux espoirs hier, nourris par un médecin du dimanche, nous prenons le chemin du retour demain. Annemarie et Hugo ont un avion soit demain après midi, soit très tôt le lendemain.
Lucas et moi rentrons à vélos. Il va falloir traverser une zone orageuse en territoire hongrois, puis un front pluvieux et frais en zone germanophone. En Roumanie il fait très chaud, et en Turquie il fait beau...
Nous allons faire du sport avec Lucas, mais on n'est pas sûr d'arriver avant les deux autres.
Nous allons faire un séjour linguistique sans traductrice, heureusement Lucas a eu 12 au bac.


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dimanche 17 juillet 2011

Hugo, superhero?

Décidément, rien n'est sûr. Tout à l'heure le médecin de l'intermutuelle nous a annoncé qu'avec encore un ou deux jours de repos, Hugo pourrait peut-être reprendre la route. Le rapatriement n'est plus pour demain. Mais nous sommes encore dans le flou pour la suite du voyage. En tout cas, Hugo, bien que fragile, est fort et courageux. Il a une énorme envie de continuer.


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samedi 16 juillet 2011

Rapatriement des vélos

Aujourd'hui nous avons fait une plongée dans la vie locale. Nous avons pris le bus jusqu'à Baja pour chercher les vélos qui nous y attendaient sagement rangés dans le garage du camping. Pour être certains que nous ne nous tromperions pas de ligne, une employée de l'hôpital nous a accompagnés et a expliqué au chauffeur où nous voulions aller. C'était très difficile, il y a eu une correspondance. Lucas est très fier de moi car nous ne nous sommes pas perdus!

Moi je suis très fier de lui car il a réussi à regagner chikungounia, euh kiskunhalas, avec le vélo de Hugo. D'ailleurs il reviendra à la maison, NON PAS LA MAISOOOOON!, avec.






Hugo goute avec délectation les repas de l'hôpital, le matin du thé avec une tranche de pain et de la saucisse, à midi un repas composé de riz et de viande, et le soir du pain et de la saucisse. Apparemment ça marche, il est allé aux toilettes qu'une dizaine de fois aujourd'hui contre une trentaine hier. Il va beaucoup mieux!

Nous voulions aller faire le courses au spar, mais nous avions passé trop de temps avec Hugo, donc il était fermé. Avec regret nous nous sommes rabattu sur un restau. Nous avons eu du mal à finir nos assiettes, pourtant c'était très bon, et nous en avons eu pour même pas 16 euros à trois, boisson comprise. Nous avons beaucoup pensé à Hugo.

Annemarie et Hugo devraient prendre l'avion lundi, on attend toujours confirmation de l'intermutuelle assistance. En attendant, le personnel très très sympathique de l'hôpital a accepté d'héberger les vélos des deux rapatriés. Ils vont donc prendre l'ascenseur et attendre au 10 ème étage de l'hôpital qu'un transporteur vienne les chercher. J'espère qu'ils ne vont pas attraper une maladie nosocomiale.






A droite c'est l'hôpital, a gauche c'est le camping. Il s'agit d'un camping thermal. Ça veut dire que l'eau ne sent pas très bon. Il y a une piscine, mais on l'a juste aperçue tout à l'heure. Peut-être que demain on s'y baignera.

Lundi, alors qu'Annemarie et Hugo seront dans les nuages, avec Lucas nous essayerons de prendre le train jusqu'à Vienne pour ensuite remonter le Danube jusqu'à la maison, NON PAS LA MAISOOOOON! Nous pensons le faire en une dizaine de jours, puisque nous seront entre hommes, enfin presque. Lucas a mis une croix cette année sur Istanbul et la mer noire et est devenue beaucoup plus modeste, il veut fêter ses dix huit ans, le 31 juillet, vous êtes tous invités, à la maison, NON PAS LA MAISOOOOON!

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vendredi 15 juillet 2011

Retour en avion!

Le verdict est tombé tout à l'heure. Annemarie et Hugo rentrerons en avion lundi. En effet, Hugo est trop faible pour reprendre le vélo.

De sa chambre d'hôpital il a quasiment une vue aérienne, mais on ne le voit pas trop sur la photo.





Il est dans un service pédiatrique, il y a quelques enfants, mais bien plus jeune que lui. Heureusement que dans la chambre il y a une maman qui accompagne son enfant malade et qui parle allemand car le médecin ne parle que hongrois.

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Hôpital, ambulance et salmonelle?

Notre voyage est en suspend. Hugo pris de crampes intestinales hier matin a été hospitalisé hier soir. L'hôpital de Baja n'étant pas suffisamment équipé, il a été transféré à Kiskunhalas. Il est dans une chambre au 10è étage avec la clim. Il va mieux. Nous attendons les résultats des analyses des selles pour savoir si nous poursuivons, ou s'il est rapatrié.





Après avoir mis les vélos d'Annemarie et d'Hugo au garage du camping de Baja, nous avons rejoint le camping de Kiskunhalas. Il est juste en face de l'hôpital. Nous y resterons au moins deux nuits.





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Baja, sable et repos

En quittant Dunapataj, nous avons bien roulé sur une trentaine de kilomètres. Dans les villages que nous traversons, nous voyons beaucoup de vélos, la plupart sont posés devant les petites épiceries ou les bars qui sont aussi très nombreux. Nous avons été surpris de croiser plusieurs vélos ou mobylettes électriques, souvent pilotés par des personnes qui ont connus l'éclairage à la bougie.


Les rues des villages sont bordés par des fossés. Les riverains doivent les entretenir car devant les maisons en ruine une végétation luxuriante envahie le fossé, devant d'autres maisons, l'herbe est coupée à ras, alors que par endroit elle est brulée par un pesticide. Heureusement les ravages monsantesque ne sont pas trop fréquents, et les rues sont agréablement décorées de fleurs ou d'arbres, des cerisiers, et en ce moment ce sont les quetsches bien mûres qui nous tentent. Il fait tellement chaud que la tenue la plus courante chez les hongrois est le maillot de bain, nous l'avons même vu porté par un géomètre en plein travail.




Après Foktö, nous quittons la route pour rejoindre la digue. Mauvaise surprise, elle est pleine de sable, et il est pénible d'avancer. On a l'impression de faire du sport! Nous allons manger à Fajsz. Annemarie perd sa casquette, un enfant du village lui la ramasse et lui fait signe qu'il veut de l'argent. Annemarie lui dit qu'elle n'en a pas, que c'est moi qui l'ai. Le gamin laisse tomber.


Le sable a fatigué et découragé certains. Nous décidons de faire deux groupes, un qui prendra la route 51, et l'autre qui poursuivra par la digue. Nous cherchons un chemin à travers les champs qui nous permettrai de rejoindre notre route sans avoir à revenir sur nos pas. Un habitant de Fajsz (un fajszien?) nous propose son aide. Il ne parle que hongrois, on lui montre la carte, il nous indique la direction d'où on vient, on lui remontre la carte, et c'est comme ça pendant 5 minutes jusqu'à ce qu'il fouille son sac et en sorte une paire de lunette. Il regarde la carte, la voit, et a l'air contrarié. Il nous demande de le suivre chez lui. On obtempère, et là il demande à son fils qui parle un peu allemand de nous dire que le chemin qu'on veut prendre n'est pas praticable par les vélos, surtout couchés. On lui explique que c'est bon, on passera, et il nous laisse partir un peu contrit.

On traverse quelques champs immenses et on rejoint la digue et son sable pour 5 kilomètres. Puis on pénètre dans le parc naturel duna-drava nemzeti, la digue est asphaltée, à l'ombre, ça fait du bien. Un panneau nous a averti que nous pourrions croiser des chats sauvages, castors, loutres ou autres oiseaux, mais le seul que nous ayons vu est ce gros cochon. Il est à droite, sans vélo.




Après quelques rendez-vous manqués avec l'autre groupe, nous rejoignons Baja, ville balnéaire sur le Danube. Nous rejouons à cache cache avec le camping, nous finissons par gagner. Nous y rencontrons quelques cyclotouristes français et belges, papotons un peu, puis nous allons manger au restaurant.






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mardi 12 juillet 2011

Rackave et Dunatapaj

Il a fallu 27 km pour quitter Budapest et ses faubourgs. Au fur et à mesure que l'on s'éloigne de la capitale, les hongrois sont de plus en plus sympathiques et proposent spontanément de nous diriger vers la bonne direction. Si en plus ils parlent allemand ou anglais, leur sollicitude peut être utile en plus de cordiale.




Pour arriver sur la grande ile au sud de Budapest, nous nous sommes un peu égarés. Le nord de cette ile est un vaste quartier populaire, qui ressemble à nos zup en beaucoup plus grand, un peu comme le quartier que nous avions visité de nuit l'an dernier à Bratislava.

A midi nous retrouvions le Danube. Après avoir mangé à ses cotés nous l'avons longé sur un bien joli chemin.



Le chemin était joli mais pas très roulant. Au bout du compte, nous étions loin des 80km escomptés et n'avons roulé que 57km. Nous étions un peu inquiets de ne pas trouver de camping car ceux qui figurent sur la carte n'existent pas toujours.

Finalement en arrivant à Rackave, alors que nous pensions avoir raté un camping fantôme, nous sommes allés nous renseigner à un complexe nautique, qui habitait un camping a l'arrière. Un camping tout neuf de l'année, avec l'eau du centre nautique, thermale, imbuvable, au bon goût soufré! Mais on a bien dormi. Après avoir mangé des pâtes cuites avec le réchaud au bois.

Le lendemain, il fait tellement chaud sous la tente à 6h30, qu'on s'est levés. Nous avons réussi à quitter le camping vers 9h. Une étape de 86km nous amène à la base nautique de Dunatapaj. Le matin un chemin un peu cabossé mais ombragé nous mène le long du fleuve paré de bleu pour une fois.




Nous en avons bien profité car très vite notre route a emprunté le sommet d'une digue ou le soleil nous a montré, alors qu'on en était déjà persuadé, combien il était énergique.


Bref l'arrivée au camping a été un soulagement, d'autant que les avis des habitants de la région divergeaient quand à son existence. Les camping existent en Hongrie, mais ils jouent à cache cache.


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dimanche 10 juillet 2011

Bricolage et repos

Hier soir nous nous sommes retrouvés avec nos amis. Ils sont arrivés au superbe Zugligeti "Niche" camping vers 22h30.

Ce matin a été consacré au remontage des vélos. Prendre l'avion oblige à les mettre dans des cartons ou dans des sacs. Quatre vélos aujourd'hui, on verra pour les réglages demain.









Cette après midi nous sommes allés manger et nous promener dans Budapest. Nous avons mangé dans un restaurant turc qui a fourni l'an dernier du film nylon a Servet pour protéger son vélo avant de prendre l'avion. Le jeune patron l'a reconnu et nous a offert le thé, un client en a fait de même. C'est un avant gout de notre destination. Nous avons ensuite été du coté de Buda, et le fameux bastion des pêcheurs.









Nous avons fait quelques courses pour le repas de ce soir au match de la galerie marchande mamuth, ouvert le dimanche, puis nous avons pris le tram et le bus pour rejoindre le camping. Durant la demi heure entre les correspondances, nous avons manger des graines de courges grillées achetées par Servet.

Mais ce soir nous avons profité de la fraicheur des hauteurs du camping, et prenons l'apero. Un demi ici correspond à un demi litre de bière, cela déroute certains ou plutôt certaines. Mais tout se passe dans la bonne humeur.







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Location:Chemin Zugligeti,Budapest,Hongrie

samedi 9 juillet 2011

Il fait très chaud


Après un voyage de 16h en train, nous sommes arrivés ce matin à Budapest. Il fait beau et très chaud. Nous avons partagé notre compartiment avec deux jeunes filles suisses. Nous avons eu de la chance car dans le wagon d'autres groupes étaient plutôt bruyants. Nous avons dormis par intermittence et dans des positions parfois dignes de gymnastes professionnels.
Nous étions presque contents d'arriver à Vienne et de devoir changer nos vélos de wagon, ça nous a dégourdis les jambes. Le souci c'est qu'en cherchant le nouveau wagon, nous avons vu le train partir, avec dedans Hugo endormi et nos affaires. Nous avions beau courir sur le quai en poussant nos vélos, nous nous sommes vite rendu compte que nous ne le rattraperions pas. Alors que nous réfléchissions à la manière de retrouver nos affaires, et Hugo, un employé de la gare nous a indiqué que le train changeait juste de quai.
De retour dans notre compartiment, nous avons roulés sans encombre jusqu'à Budapest. Je me souvenais assez bien du chemin que nous avions pris l'an dernier du camping à la gare, malheureusement soit la gare avait changé de place soit ce n'était pas la même. Après avoir refusé plusieurs propositions d'hébergement chez des particuliers en guenilles, nous avons circulé sur les routes pestoises pour rejoindre Buda.



Le parlement en vue, nous avons procédé à la classique réparation de chaine de début de voyage (elle n'a certainement pas résisté au train).
La réparation fut bonne puisque la chaine a tenu lors de la montée jusqu'au camping. L'accueil y fut une nouvelle fois très sympathique et nous nous sommes vu offrir un verre de l'amitié. Nous avons rapidement monté les tentes pour y faire une sieste et prendre une douche.

Nous attendons maintenant l'arrivée de Servet, Roselyne, Marivonne et Yves, qui devraient atterrir ce soir, pour entamer notre route de la joie vers la Turquie.


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Location:Chemin Zugligeti,Budapest,Hongrie

lundi 27 juin 2011

Préparation

Les billets de train sont achetés, et le camping à Budapest est réservé. Nous y retrouverons Servet et Roselyne que nous avions quittés il y a un an au même endroit. Yves que nous avions croisé à plusieurs reprises en Allemagne sera aussi avec nous, ainsi qu'une ami des Ertuls.
Lucas et Hugo nous accompagnent. Au programme nous avons la Hongrie, la Croatie, la Serbie, la Roumanie, la Bulgarie, la Turquie, la Grèce, l'Italie, la Suisse et la France.
Lucas veut fêter ses 18 ans à Istanbul.
Nous savons que nous partirons de Budapest, que nous passerons à Istanbul, que nous passerons environ deux semaines en Turquie et que nous rentrerons en prenant le bateau jusqu'à Athène puis de Patra à Venise. Pour le reste nous improviserons.
Cela devient presque une habitude, la date du départ approche très vite et le sentiment de ne pas être prêts grandit, mais moins que l'impatience de partir.



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Location:Rue de Walbach,Colmar,France